Nous partons la veille et comme il y a encore beaucoup de route (et à notre demande), on s'arrête aux pieds d'une montagne, dans un passage entre deux flancs de falaises, pour planter notre tente. On apperçoit de temps à autre des faucons et on a même cru voir un aigle. Ce soir, c'est soupe avec de la viande séchée de boeuf que notre guide nous a dégôté (la plus part des familles nomades en ont dans leur ger car c'est très facile à transporter et conserver).


Arrivée le lendemain matin sur le site, on passe d'abord par un petit musée qui nous montre toute la faune que l'on peut trouver dans le parc. Attention les yeux, les animaux sont empaillés et en plus pas très bien réalisé.


Afin de protéger le parc, on ne peut le pénétrer qu'à pieds où à cheval. Le temps est idéal, si au début le vent était froid on enlève vite nos épaisseurs dès qu'on se trouve au soleil. On se fera une bonne marche de 4h. Le parc est gigantesque, il mériterait que l'on s'y arrête plusieurs jours pour en faire le tour et sortir du sentier balisé et ainsi voir plus d'animaux. Mais même avec le sentiers balisé, le parc garde tout son charme avec ses flans de falaises majestueuses, son petit ruisseau, ses multiples fleurs et coins de verdure. Nous avons également vu pas mal de petits animaux (rongeurs, sortes de moineaux, sorte de poules d'eau ...) et comble du bonheur on a réussi à voir une gazelle des montagnes sur l'un des flancs extrêment pentus de la montagne (impossible de vous montrer sur un photo ça ne rend rien).